♣. Pension IneKa
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Anonymous

I'm Invité and you ?

Invité


[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Vide
MessageSujet: [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ]   [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] EmptySam 14 Nov 2009 - 14:49



      I-YOU ; The member

  1. Prénom - Surnom : Laura... ^^"
  2. Date de naissance : Dans pile une semaine : 21 novembre =)
  3. Compétences Rp : 10 / 50 Lignes
  4. Où avez vous connu le forum ? Sur Thèmes Passion ^^
  5. Notez : Design : 8/1o
    Contenu : 9/1o
    Réglement : 9/1o
    Modèle de présentation : 1o/1o


      II- HIM/HER ; Your personnage

  1. Nom : Paige. C'est le nom de famille de sa mère. Son père s'appelait Redd, mais elle n'utilisera ni ne prononcera jamais son nom. Et vous non plus - si vous tenez à la vie.
  2. Prénoms : Alyss, Morrigan, Brasha. Alyss est le plus courant, celui qu'elle entend des inconnus en général. Quand à ses deux autres, elle les tient scrupuleusement secrets. Morrigan et, dans la culture celtique, la déesse des Cauchemars. Elle aime beaucoup ce prénom, d'ailleurs il lui va à merveille, mais il n'y a qu'elle est ceux à qui elle fait confiance qui le connaissent. Qu'elle, donc. Brasha signifie Prière, et jamais, au grand jamais, elle ne le révèlera. A personne.
  3. Age ; Date de naissance : Tous les ans ça change, vous savez ? Cette année, 17 ; Le 13 avril. Allez savoir pourquoi, ce nombre régita sa vie. Avant même de naître, elle était déjà condamnée...
  4. Groupe : Humaine à pouvoir.
  5. Pouvoir : Contrôle la glace et est douée d'empathie.
  6. Portrait Physique : Des mèches noires, désordonnées. Apercevrez-vous son visage ? Ne rêvez pas trop, il y a peu de chances. Et pourtant, vous y gagneriez. Des yeux gris aux reflets d'acier. Du métal en fusion. Des prunelles étroites. Comme un chat. Des traits fins. Aériens. Détachée de la vie ici-bas. Un ange déchu... Une peau pâle. Telle un cadavre. Le malheur à l'état pur, flottant sur ses traits. Un chrysanthème... Ne serait-ce pour sa bouche, on l'aurait presque crue sortant d'une photo en noir et blanc. Rouge sang. Une pomme empoisonnée. Ne la croquez pas... Haute et mince. Une poupée de porcelaine. Fragile, attention. Mais dure. Cassante. Des contours anguleux. Toute en coudes, épaules, genoux. Maigre ? Non, mais presque. Se nourrit-elle du malheur des autres ? Des tuniques noires. Amples. Quels secrets, quels regrets cache-t-elle dans leurs replis ? Aux manches larges, cachant ses mains fines. Aux capuches profondes, dissimulant son visage. Longues. Vous ne verrez jamais ses pieds, mais ce ne sera pas une grande perte car elle va la plus part du temps pieds nus. Il lui arrive de temps en temps de porter des ballerines ou des sandales. Rien d'autre. Courbée, comme si elle portait le monde sur ses épaules. Le poids de la fatalité. Une démarche glissante. Flottante. Un parfum boisé, flottant dans son sillage. Musc, santal, des senteurs de sous-bois. N'essayez pas de l'imiter, il ne va bien qu'à elle. Sauvage. Arriverez-vous à l'apprivoiser ? Une ombre. Un reflet d'elle-même. Un fantôme ?...

  7. Portrait Psychologique : Folle... On le chuchote dans son dos, on le murmure à son oreille. Ce mot est sur toutes les lèvres. Folle... Mais est-ce seulement vrai ? Nul ne le sait. En tout cas, cette rumeur ne semble pas la déranger outre mesure. Oh, elle est sûrement un peu dérangée. Un poil sadique. Pyromane ? Ne lui demandez pas, elle niera avoir allumé cet incendie. Psychopathe ? Sûrement. Mais, au fond, qui ne l'est pas ? Au moins, elle n'a encore tué personne - pas consciemment, en tout cas? Folle... Les rumeurs sont insistantes. Mais elle est au-dessus de tout ça. On la croirait étrangère à sa vie, simple observatrice neutre et inconsciente... Distante, Froide. Glaciale, même. Et fragile, si fragile... La carapace dont elle s'entoure a vite fait de se fissurer, de se craqueler au moindre coup ; et elle qui a tout fait pour détruire la petite fille de ses souvenirs, la revoilà au galop, recroquevillée dans un coin de sa mémoire. Mais comment décrire un caractère en quelques lignes ? Si c'est possible, alors il faudrait un roman pour saisir toutes les facettes de la personnalité d'Alyss. Folle... Si un mot devait la décrire, oh, bon, ce serait peut-être celui-là. Mais excusez-la. Elle ne sait pas... Ne vous attachez pas, surtout pas à elle. Elle pourrait vous le rendre...

  8. Histoire : Alyss s'arrêta sur le seuil de la cuisine, derrière une limite invisible qu'elle s'interdisait formellement de dépasser. L'air était glacial. La fillette, de trois ans à peine, expira, formant un petit nuage de buée devant sa bouche. Elle avait l'air éthérée, diaphane, dans sa nuisette blanche. Ses cheveux noirs flottaient presque autour de son visage, de façon pratiquement artificielle, soulignant le contraste d'avec sa peau couleur de marbre.
    Sonja, dans la cuisine, avec la grâce et le maintien souple qui ne quittaient jamais la danseuse, s'était saisie s'un couteau, un grand couteau à cuisine. Sa main gauche de pianiste enserrait le manche, et malgré son calme apparent, elle le serrait à s'en blanchir les jointures. Elle approcha l'objet de son bras droit, levé devant elle, la paume vers le plafond. Alyss ferma les paupières violemment. Elle nourrissait, de toutes ses forces, l'espoir insensé que, si elle ne regardait pas, il ne se passerait rien.
    Un bruit clair, métallique, presque chantant, retentit lorsque l'ustensile, échappé à l'étreinte de la femme, chuta sur le carrelage jusqu'à présent immaculé. La fillette rouvrit les yeux, ne pouvant s'en empêcher plus longtemps. Elle croisa un instant le regard de sa mère. Sonja écarquilla les yeux en appercevant sa fille. Dans ses iris miel, on lisait tristesse, regret et honte, mais surtout quelque chose de plus fort et de plus profond, au-delà du fait de devoir imposer ce spectacle à sa fille ; le soulagement. le soulagement de savoir que, toute sa vie, elle avait été libre, libre au point de pouvoir décider de sa mort.
    Elle se sentait pourtant infiniment coupable d'imposer ça à sa fille ; son ange...
    ce fut sa dernière pensée consciente. la jeune femme aux cheveux de jais suivit de peu le couteau ensanglanté, s'étendant de tout son long sur le marbre rougi, gisante gracieuse aux yeux clos. Alyss tremblait, tremblait de tous ses membres, de tout son corps, de tout son coeur, de toute son âme. Tremblait à s'en briser. Elle n'atteignait pas le mètre, frêle et frémissante sous le chambranle, et sa présence n'en semblait que plus déplacée. Peut-être ne comprenait-elle pas totalement la situation, mais l'éclair vivace de ses yeux de cendre montrait qu'elle saisissait tout de même l'essentiel de ce qu'il venait d'advenir. Des larmes s'accumulaient aux coins de ses yeux, et elle ferma de nouveau les paupières. Le sien était un chagrin silencieux, sans sanglots, sans hoquets et sans cris. Elle se laissa tomber à genoux sur le sol, encore à moitié dans le couloir. Ses yeux écarquillés fixaient, presque sans le voir, le cadavre de sa mère. Ses larmes coulaient sur ses joues, ses lèvres, son menton, son cou, gouttaient au sol. Plus loin, dans la cuisine, une fenêtre donnait sur une cour paisible. C'était l'aube, à peine, et le soleil commençait à s'annoncer au-dessus des toits, d'un rougeoiement presque orangé.L'air semblait figé dans la cuisine, à l'heure où les deux filles devraient encore dormir, à l'abri sous leurs couvertures. Un chat blanc se faufila par la porte, avança sans bruit jusqu'à la femme.
    Il s'arrêta près de son corps, léchant ses bras souillés de sang de sa langue râpeuse, dans un ultime hommage. Puis il se pelottonna contre sa maîtresse, roulé en boule.
    Maman ?
    [●●●]
    Nathan, un Nathan rasé de près et en costume trois-pièces, un nathan impecccable, aux yeux cernés et aux traits tirés, tendit une robe noire à sa fille. Alyss s'en empara pour l'examiner, l'étala sur le lit de son père. Une petite moue approbatrice aux lèvres, elle commenta :
    Maman va l'aimer, quand je lui montrerai !
    Nathan, un Nathan éperdu, un Nathan retenant des larmes amères, sortit en trombe de la pièce, les poings serrés.
    Alyss haussa les épaules. Son père était devenu très bizarre depuis quelque temps. Ne lui avait-il pourtant pas dit qu'ils allaient dire au revoir à Maman ?
    Elle repoussa la pensée à plus tard, et fit passer le haut de son pyjama par-dessus sa tête. Quelques minutes plus tard, elle était prête, à croquer dans sa robe noire. Elle ressemblait de plus en plus à sa mère, se dit Nathan, un Nathan esseulé, un Nathan émacié, au volant de la voiture. jetant un regard dans le rétroviseur, il dévisagea sa fille. Ses yeux gris étaient les siens, mais tout le reste lui venait de sa mère, Sonja.
    Nathan, un Nathan apeuré, un Nathan abandonné, pénétra dans le cimetière, sa fille sur ses talons. Soja avait voulu être enterrée aux côtés de ses parents, dans le caveau familial, au cimetière juif.
    Le rabbin les attendait près de la tombe, et, tous trois, ils observèrent la lente descente du corps de celle qui fut leur mère et leur femme.
    Joyeux noël, Alyss.

    Nathan ouvrit doucement la porte de la chambre. Alyss dormait, à moitié ensevelie sous la couette bordeaux. Ses cheveux étaient étalés sur l'oreiller, et dormait à la façon de sa mère, le visage de face et le corps de côté. Nathan soupira. Lorsqu'elle avait les yeux clos, c'était un portrait en miniature de Sonjaet, dans ces moments-là, il avait du mal à tenir le coup. Il s'avança sur la pointe des pieds jusqu'au lit, retenant son souffle. Il remit quelques cheveux éparpillés derrière les oreilles de la fillette, la secoua doucement par l'épaule quelques secondes, chuchotant son prénom à son oreille jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux.
    Hey, Alyss... Joyeux anniversaire...
    La fillette sourit, encore ensommeillée, et se redressa complètement. Son père ouvrit les voltes en grand, illuminant la chambre du soleil matinal, et sa fille se leva, la mine froissée d'avoir trop dormi. Prenant Alyss par la main, l'homme l'emmena à la salle à manger. Depuis l'évènement, ils évitaient au maximum de pénétrer dans la cuisine, et la pièce abandonnée prenait la poussière en silence. En passant devant la porte blanche, ils détournèrent la tête, rituel tacite toujours respecté.
    Un gâteau reposait sur la table du salon, une bougie au chiffre quatre allumée sur le dessus. Nathan posa un paquet enballé sur la table, s'assit en face de sa fille.
    La fillette se pencha en avant, ses cheveux cachant son visage aux yeux de Nathan. Un souffle, et la flamme vacilla - s'éteignit. Une inspiration - et un veu enfantin. Trop souvent exprimé.
    Je voudrais que maman revienne.
    [●●●]
    Alyss referma sur elle la porte de son armoire, retenant sa respiration. Son père avait bu, trop bu ce soir-là. Et s'il là trouvait. Elle refoula la pensée, sachant d'avance ce qu'il surviendrait s'il découvrait sa cachette. Ce n'était pas la première fois. Elle repoussa une robe, deux manteaux, se glissant derrière et prenant garde de ne pas faire de bruit avec les cintres. Elle se colla contre la paroi de bois verni, ramenant ses jambes contre elle, sous son menton. Hors de la pièce, des pas lourds, maladroits, résonnaient. Nathan la cherchait, ivre.Elle se mordit la lèvre jusqu'au sang, de toutes ses forces pour ne pas crier. Des larmes perlèrent aux coins de ses yeux. Du sang perla aux coins de ses lèvres.
    Un claquement sec et bruyant retentit, faisant sursauter la jeune fille. La porte de la chambre s'était ouverte à la volée, percutant le mur. Alyss écarquilla les yeux de peur. Elle entendait son géniteur tourner en rond dans la pièce, jetant des objets par terre, envoyant valdinguer livres, CD, ordinateur... Il jeta le matelas à bas du lit, entraînant la lampe da la table de nuit avec lui. L'ampoule se brisa. Une par une, il ouvrit les portes des armoires, jusqu'à parvenir à celle qui servait de cachette à sa fille. La jeune fille hurla. Elle se sentit soulevée, puis jetée sur le matelas. Déjà son chemisier était arraché, sa jupe enlevée. Déjà son père retirait son pantalon. Lui faisait-elle tellement penser à Sonja ? Déjà il était sur elle. Elle pleurait. Lui riait, riait aux éclats. Il criait. Sonja, Sonja ! Elle criait. Nathan sentait l'alcool, ni le vin ni la bière, mais quelque chose de plus fort. Nathan sentait la fumée, ni la cigarette ni le cigare, mais quelque chose d'aigre-doux, à l'odeur entêtante et hypnotique. Que cherchait-il ? L'oubli...

    Il faisait noir, noir comme dans un tombeau. Elle étouffait. Suffoquait. Elle aurait voulu tousser, mais il ne fallait pas. Il ne fallait surtout pas. Elle ne devait faire aucun bruit. Alyss dégagea une jambe de sous la couette. Puis l'autre. Repoussa l'édredon - et finalement se leva. Elle saisit, sous son lit, le sac qu'elle avait préparé la veille au soir. Il ne contenait ni cahiers ni livres de cours. A l'abri sous quelques habits de rechange et divers paquets de nourriture, se trouvaient, outre tout l'argent qu'elle avait pu récolter, la carte de crdit de son père. Elle planifiait de retirer dans la matinée tout ce qu'elle pouvait, puis de jeter la carte bleue. Elle espérait être assez loin avant que quelqu'un ne puisse la retrouver.
    Elle ouvrit la porte, tendit l'oreille. Son père ronflait ; le couloir sentait l'alcool et la colère. Hier, elle s'était enfermée dans la chambre. Si elle restait, il ne le lui pardonnerait pas. En passant dans l'entrée, elle attrapa son chat. Elle l'emportait. Elle ouvrit la porte, passa sur le palier... la referma. Elle était dehors ! Le sourire lui venait tout seul aux lèvres, même si Alyss savait pertinemment qu'elle était loin d'être tirée d'affaire.
    S'interdisant de regarder en arrière, même si elle ne craignait pas de devenir une statue de sel, elle descendit les marches quatre à quatre. L'orsqu'elle eut tiré la lourde porte d'entrée et franchi le dernier seuil qui la séparait de la liberté, elle écarquilla les yeux. La journée lui semblait eceptionnellement ensoleillée, alors qu'il n'était pas plus de six heures du matin. Ca y était !... C'était fini, enfin fini.
    Si elle savait...
    [●●●]
    La surveillante générale, avec son air d'éternelle martyre, ouvrit la porte dans un grand fracas et alluma la lumière, aveuglant sur place la quarantaine de filles qui dormait dans cette aile-là. Les pensionnaires de l'orphelinat, dans ce dortoir, avaient entre dix et quatorze ans, et Alyss était dans les plus jeunes. Ce n'était pas forcément un avatange, mais elle n'envisageait pas de se plaindre. C'était déjà presque trop d'avoir un toit, et quelque chose d'à peu près chaud et mangeable, deux fois par jour. Ce n'était pas le paradis, mais Alyss en était assez contente. Restant froide et distante, elle évitait le contact avec les autres, qui la pensaient folle. Peut-être n'était-ce pas si faux, mais au moins, elle était plus ou moins tranquille. Elle ne cherchait à tenir tête à personne, et ainsion la laissait tranquille.
    Ici, les animaux étaient interdits, mais Alyss avait plus ou moins trouvé le moyen de contourner l'interdiction. La gardienne, aussi vieille que gentille, adorait les animaux. Moyennant un payement plus symbolique qu'autre chose, elle ne rechignait pas à s'occuper de Silver.
    Alyss se leva, saisit l'uniforme au pied de son lit. Elle devait se dépêcher, ou elle n'aurait plus de place à la salle de bains, et risquerait un retard. Ce serait la troisième fois dans le mois, ce qui pouvait signifier de fortes sanctions. Et elle ne voulait pas se faire remarquer une fois de plus... Elle sauta littéralement dans ses chaussures. les mocassions vernis de l'uniforme permettaient de les enfiler très rapidement et de glisser assez vite, ce dont elle profitait amplement. Elle glissa donc jusqu'à la porte attenante, à l'autre bout du dortoir, slaloma entre une ou deux filles et l'atteignit parmi les premières. Alyss pénétra dans une des douches, referma la porte du box derrière elle... Une main la tira en arrière. Déjà à moitié déshabillée, elle faillit crier, mais se retint, se disant qu'elle risquait gros. Elle se retourna donc en silence. C'était un des professeurs, qui depuis un certain temps déjà la lorgnait. Elle ne cria pas, sachant pertinemment ce qui arriverait si elle osait. L'abus de pouvoir était fréquent, non seulement ici mais dans une bonne partie des orphelinats publics. En contrepartie, elle savait qu'ils n'essayeraient jamais de vérifier si elle était vraiment orpheline, et c'était un grand avantage. Si elle en parlait, ou même essayait de le faire, ce serai l'expulsion, le retour à la rue. Alors Alyss se tut. Elle s'adossa contre le mur du fond, détournant le regard, essayant de penser à autre chose. Mais on ne s'habitue jamais à ces choses-là.
    Gentille fille...
    Il était répugnant. Son regard lubrique, ses poils gras, tout en lui la dégoutait au plus haut point. Alyss hoqueta. Il lui plaqua violemment une main sur la bouche, cognant sa tête contre la paroi carrelée. Elle aurait voulu perdre connaissance, mais cette chance lui fut refusée.
    Il recommença. Encore et encore, à nouveau, jusqu'à ne plus en pouvoir. Encore et encore.
    [●●●]

  9. Personnage de manga illustrateur : J'en ai pas. ^^"


      III-OTHER ; Formalities

  1. Code réglement : Bon.
  2. Validation : Par Emi. ♥️
Revenir en haut Aller en bas

Lily Takashi

I'm Lily Takashi and you ?


Messages : 817

Bourse : 931

Date d'inscription : 06/09/2009

Age : 30

Localisation : Quelque part.



Feuille de personnage
Avertissements:
[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Left_bar_bleue0/0[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Empty_bar_bleue  (0/0)
Pouvoirs:
Symptôme:

[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Vide
MessageSujet: Re: [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ]   [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] EmptySam 14 Nov 2009 - 15:17

WAHOU **
Je te valide direct & je te félicite aussi.
Ah oui, Bienvenue ♥️
Revenir en haut Aller en bas
https://ineka-island.forumsrpg.com

Skaicius Syv

I'm Skaicius Syv and you ?


Messages : 595

Bourse : 477

Date d'inscription : 11/11/2009

Age : 33

Localisation : Chez les pommes~



Feuille de personnage
Avertissements:
[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Left_bar_bleue0/0[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Empty_bar_bleue  (0/0)
Pouvoirs:
Symptôme:

[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Vide
MessageSujet: Re: [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ]   [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] EmptySam 14 Nov 2009 - 15:33

Tout simplement époustouflante *-* Une vraii merveille ♥️

Bienvenue parmi nous et bon Rp' Wink
Revenir en haut Aller en bas


I'm Contenu sponsorisé and you ?




[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Vide
MessageSujet: Re: [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ]   [ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

[ Alyss Paige ] [ Broken Pieces Of Memory ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
♣. Pension IneKa  :: Poubelle du Forum-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit